Atelier pluridisciplinaire en L3 Sciences Humaines Appliquées

Un dispositif singulier

L’atelier pluridisciplinaire de la licence 3 Sha se déroule sur l’ensemble de l’année universitaire. L’atelier se structure en « mode projet » à partir d'une question énoncée par un commanditaire relevant des champs disciplinaires associés à la licence. La commande émane d’institutions territoriales locales, extérieures à l’université, pour ouvrir le questionnement à une approche « terrain » accessible pour les étudiants.

La démarche volontairement décloisonnée comprend plusieurs phases articulées entre elles : clarification du sujet/demande, questionnement, récolte de données, analyse et synthèse des données, écriture des hypothèses, mise en forme de communications (images, sons, écrits), présentation des états d’avancée du projet, restitution publique premièrement auprès du commanditaire et finalement auprès des pairs enseignants-chercheurs.

Pour cela, les étudiants disposent d’un dispositif pédagogique spécifique permettant des interactions variées avec différents protagonistes : spécialistes des champs disciplinaires en géographie, histoire, philosophie et design, facilitateur, commanditaires, publics et usagers, afin de construire une énonciation ad hoc et de concrétiser l’approche transversale.

Collaboration et complémentarité nécessaires

Construit autour du projet à la fois comme point de rassemblement et comme dynamique transversale, l’atelier crée, malgré les champs disciplinaires différents, un territoire commun et permet le croisement et les interactions des connaissances. Ce dispositif pluridisciplinaire sollicite un important engagement des étudiants pendant et en dehors des moments présentiels ou de face-à-face pédagogique. Dès lors, le comportement des étudiants se modifie au fur et à mesure de l’avancée de l’atelier. Le dispositif ainsi construit et entretenu par l’équipe pédagogique renforce la prise d’autonomie nécessaire et invite à la prise d’initiative. La posture de l’étudiant passe de « actif » à « acteur ». Posture qui modifie profondément les rapports enseignants-apprenants.

L’utilisation d’une plateforme numérique telle que Slack.com (application de travail collaboratif) permet de tracer l’historique du projet, de regrouper les informations et d’apprécier la qualité des échanges entre les protagonistes. Les étudiants mettent en œuvre et animent eux-mêmes ce support tout au long de l’atelier. Cet outil, associant travail collaboratif et réseau social, facilite grandement les échanges et le partage d’informations au sein des groupes. Il permet également aux enseignants de suivre le projet en dehors des rendez-vous synchrones.

Licence 3 SHA réseau promising

Work in progress

Exposition, webdoc, article, performance, roman-photo ou storyboard ? La formalisation des résultats de la recherche apparaîtra quelques jours avant la présentation finale. La réussite de ce projet pédagogique dépend de la capacité des acteurs à se glisser dans un processus sans chercher à pré-contraindre ou de modéliser l’objet-résultat par anticipation. Ce processus designant les énoncés et les énonciations se co-construit au fur et à mesure des apports, rencontres et découvertes. Il nécessite de s’inventer par le collectif afin d’accueillir les envies et intérêts de chacun et de s’adapter avec une grande souplesse à la terra incognita qui se dévoile progressivement. L’accueil de la pensée alternative, l’adhésion au projet, l’engagement des parties prenantes forment les conditions pour la bonne conduite du projet à son terme. Dès que les enseignants montrent une confiance dans le travail des étudiants, « l’effet pygmalion » fonctionne à plein régime.

Approche pluridisciplinaire et transversale

La construction d’un enseignement pluridisciplinaire se caractérise ici par la convergence de plusieurs processus.

Premièrement, les disciplines (histoire, géographie et philosophie) identifiées et portées par les « enseignants-ressources » sont traversées par les problématiques développées des étudiants.

Deuxièmement, le partenariat avec le programme Promising de l’UGA offre un accompagnement logistique et pédagogique facilitant le déroulement du processus transversal. Un enseignant spécialisé en design et rompu aux méthodes de créativité de Promising accompagne les étudiants et les enseignants à la construction du dispositif pédagogique. Le programme Promising met aussi à disposition un environnement de travail adapté (plateau design) au travail collaboratif. Ainsi des moments de construction de groupe (team-building) et de génération d’idées (processus de divergence/convergence) alternent avec des temps de récolte et d’analyse de données relevant des sciences humaines et sociales pour se clôturer en une phase de production technique avec l’appui de compétences professionnelles (journaliste, web-designer, commissaire d’exposition…).

L’approche pluridisciplinaire fait également appel à des compétences transversales associées à la conduite de projet, à la construction d’hypothèses ouvertes dépassant les champs disciplinaires, à la proposition de scénarii prospectifs et à la conception de dispositifs de médiation.

L'atelier pluridisciplinaire au sein des enseignements disciplinaires de la licence
Objectif triple L3 SHA

#1 - De l’écriture universitaire à l’écriture de communication.

Approche scientifique et vulgarisation.
La question du public.

Constats :

Les discours sont élaborés dans les tensions qui s’opèrent entre les intérêts et les enjeux des protagonistes. Il est important de distinguer les différents registres de discours, d’en comprendre les types d’énoncé et d’énonciation et de situer les « producteurs ».
La méthode scientifique s’appuie sur des sources et des connaissances validées par la communauté universitaire avec son vocabulaire propre. La communication cherche à rendre lisible et compréhensible un message pour un public.

Moyens :

La question de la transformation des connaissances en éléments de médiation implique l’identification des parties prenantes : commanditaire, étudiants, partenaires, enseignants et destinataire final.

Objectifs :

Apporter une distance critique à la commande, la contextualiser et la mettre en perspective, décaler le regard, travailler l’argumentation afin d’être entendu par les différents publics et ainsi adapter l’écriture et le medium aux publics identifiés. Comprendre les interactions entre énoncé et énonciation. Adopter le registre d’énonciation adéquat. écrire en vue de vulgariser. Faire état de sa recherche quelque soit l’état de l’avancement. Partager ses connaissances nouvelles.

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Simple n’est pas simpliste. Quel contexte d’énonciation ? Quel(s) public(s) ? Peut-on tout dire ?
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#2 - L’approche méthodologique pluridisciplinaire.

D’une démarche disciplinaire à une démarche partagée.

Constats :

Le parcours scolaire, puis universitaire, des étudiants s’ancre dans un sillon disciplinaire et construit un système de pensée conçu en « caisson étanche ». Le croisement de trois champs disciplinaires des sciences humaines aux méthodologies proches constitue en soi une certaine difficulté : chaque champ possède ses habitudes réflexives et ses propres spécificités

Moyens :

Le croisement s’entend comme capacité de chacune à compléter, à nuancer et à enrichir les deux autres. Pour les étudiants, comme capacité à capitaliser les démarches communes de l’ensemble des disciplines sans perdre la singularité de chacune. Chaque champ disciplinaire opère du « donnant-donnant » dans une relation symétrique au sein même d’une démarche relevant du design. La documentation se constitue à partir d’une grille commune aux trois disciplines.

Objectifs :

éprouver une démarche méthodologique scientifique et rigoureuse qui s’opère en fonction de la récolte de données et des hypothèses qui se dessinent. Expérimenter une démarche d’enquête et de récolte de données en croisant les méthodologies de chacune des disciplines. Analyser les sources et les discours.

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La « pluri » discipline impose une grande maîtrise dans chacun des champs. Le « magma » du départ a besoin d’être organisé et clarifié avant de pouvoir rédiger. Sciences humaines et sociales ne signifient pas que tout soit dans tout et que tout se vale.
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#3 - Du sujet-cadre imposé par les enseignants à la problématique réappropriée par les étudiants.

Les questions de recherche et de constitution des groupes.

Constats :

Le choix d’un commanditaire et d’une question initiale validée par l’équipe enseignante en conformité avec les objectifs disciplinaires constitue un arbitraire non négociable.
Le manque préalable de connaissance du sujet et du terrain peut entraîner une perception négative, voire un rejet de la part des étudiants

Moyens :

Dire ce qu’ils vont devoir produire, énoncer avec soin que l’objectif déterminé reste ouvert. L’utilisation de la métaphore de l’expédition itinérante qui traverse les disciplines avec la liberté de « remplir » ce cadre permet de sécuriser tout en rendant légitimes la place et le travail des étudiants.
La déconstruction et la reconstitution de groupes déterminent la diversification des angles d’attaque et la confrontation des points de vue.

Objectifs :

Aborder la complexité de l’objet étudié. Clarifier la demande, déplacer et enrichir les points de vue. Partir d’un questionnement pertinent (problématique) renvoyant à des enjeux de société qui s’ancrent dans leurs actualisations.

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Une problématique que les étudiants définissent eux-mêmes est plus ancrée et plus engagée qu’une problématique décrétée, perçue alors comme «hors sol». L’ossature et le cadre du travail balisent un processus qui paraît incertain, voire déstabilisant, surtout ouvert et évolutif. Ecrire et réécrire précisément l’objectif à atteindre malgré la difficulté à l’établir, car susceptible de changer en cours de recherche.
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#4 - Poids des habitudes sociales et institutionnelles.

Lutter contre la routine pédagogique.
Animer et faciliter un travail de groupe.

Constats :

Apprendre à l’université suit un modèle identifié et normatif qui reconduit chaque année ses modalités. Les étudiants sont habitués à travailler en solitaire, voire en concurrence. Le système d’évaluation sélectif renforce à sa manière ce phénomène de compétition entre les personnes, véritable fossoyeur de toute collaboration. Le schème de la transmission verticale de la connaissance reste profondément ancré.

Moyens :

La prise de conscience du pouvoir de l’intelligence collective et du potentiel de l’altérité, permet à chaque étudiant d’affiner sa pensée et d’enrichir ses connaissances. La diversité des modalités d’enseignement évite la routine pédagogique (écoute, autonomie, partage, changement de rythme, de médium et d’espace, cours à deux ou trois enseignants…) L’attention aime les temps brefs, le « faire» nécessite des temps plus longs. Les dispositifs d’apprentissage sont conçus pour être ludiques, incluants et conviviaux.

Objectifs :

Amener les étudiants à construire un partenariat collaboratif et transparent. Transformer la perception de « l’autre » non pas comme un concurrent ou un ennemi, mais plutôt une ressource nécessaire. Mettre en avant le plaisir de la connaissance partagée.

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Un enseignant intimide par son image d’autorité et son rôle décisif dans l'évaluation. Trouver des dispositifs d’évaluation valorisant les contributions de chacun dans le travail collectif. L’hospitalité et le sentiment d’être reconnu renforcent le plaisir de venir à l’université et de travailler ensemble.
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#5 - Aménager en un lieu ad hoc.

Qualifier et organiser un espace de travail collectif

Constats :

Le mobilier et l’aménagement habituels renvoient à des formes d’apprentissages verticales : amphi, salle de classe standardisées… L’uniformité des espaces est incompatible avec la diversité des formats pédagogiques nécessaires au croisement des disciplines.

Moyens :

L’espace de travail requalifié permet d’aider au changement de posture pour plus de collaboration. Les lieux de vie s’adaptent pour accueillir des travaux techniques, la prise de parole en groupe, la diffusion d’images et de son, se poser, discuter tranquillement, réfléchir à deux ou davantage, se reposer, s’isoler… L’agencement temporaire, le détournement de mobilier, la mobilité et la mutabilité des espaces, l’accès à internet, à la vidéo et au son, les affichages éphémères et permanents… sont autant de moyens pour propulser la pédagogie en système.

Objectifs :

Adapter un espace à l’effet recherché ou aux résultats escomptés, aux leviers pédagogiques imaginés. Créer des espaces propices à la concentration, au bien-être et représentant une rupture significative comme signal du rendez-vous hebdomadaire. Mettre en place des « sas » pour soigner les transitions.

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Lutter contre l’appauvrissement de l’environnement de travail. Un contexte de qualité est propice à un travail de qualité. L’adaptabilité des espaces fait écho à la diversité des formes et des rythmes pédagogiques.
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Aménager un lieu - L3 SHA - promising

#6 - Travail hors atelier.

L’expérience du terrain

Constats :

Les heures de cours hebdomadaires de l’atelier se conforment au rythme des autres cours de la licence et modélisent un découpage arbitraire de la formation. Comment garder la tension de la recherche sur une année universitaire ?

Moyens :

Le travail hors face-à-face pédagogique constitue à la fois un intervalle de liaison entre deux cours et un espace d’autonomie. La plateforme numérique Slack.com aide à matérialiser le travail réalisé hors temps de face-à-face.
L’expérimentation sur le terrain des outils permet d’intégrer les ressources émanant des disciplines différentes. L’enquête sociologique (niveau découverte) est un outil d’investigation du terrain par les étudiants. Ce travail se fait en concertation avec l’unité d’enseignement Traitements statiques d’enquêtes de la licence Sha.

Objectifs :

Transformer le découpage rigide de l’emploi du temps en rendez-vous hebdomadaires.
Pour les étudiants :
  • Collecter ses propres informations, construire des sources et des connaissances à partir d’une démarche empirique et expérientielle.
  • Confronter la théorie et son savoir à une réalité tout autre.
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Les étudiants nécessitent d’être en possession de moyens pour gérer leur autonomie. L’accompagnement des étudiants consiste à les aider à agir seuls. Le travail de terrain est préparé en amont. Identifier un porteur de la commande capable d’être mobilisé pour les besoins de l’avancement de la recherche. Inviter les étudiants à anticiper et à organiser.
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#7 - Croiser les disciplines.

Utiliser les ressources bibliographiques.

Constats :

Les apports scientifiques disciplinaires permettent d’aider les étudiants à s’orienter et à nourrir leurs questions et les inviter à diversifier les regards et les approches.

Moyens :

Le croisement des disciplines nécessite d’identifier et de situer les thèses et leurs auteurs avant de transférer les concepts ou de confronter les informations.

Objectifs :

Favoriser la transversalité par une collaboration réflexive et nourrissante entre enseignants, intervenants et étudiants. Etablir des listes de « sources » : identifier, répertorier, établir une typologie, analyser… être capable d’identifier les niveaux de pertinence de chaque source.

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C’est la mise en tension des champs disciplinaires et la confiance dans l’inconnu qui vont déterminer l’apport des contenus dans le dispositif d’apprentissage qui est en train de se construire. Venir avec les contenus divers et identifiés en réserve qui permettront d’alimenter les questions et les réflexions in situ.
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#8 - De l’institution à « l’ex-stitution ».

Transformer la demande en problématique scientifique.

Constats :

Le commanditaire a tendance à attendre une solution miracle. Spontanément, les étudiants se soumettent à la demande et ne remettent pas en cause la formulation de l’énonciateur.

Moyens :

Pour réaliser l’exercice scientifique, il est salutaire de s’écarter de l’approche dominante et univoque de la demande du commanditaire. Le bon questionnement de la demande initiale se dirige vers une connaissance ouverte, durable et génératrice de valeur. La rigoureuse approche scientifique universitaire offre une véritable résistance au diktat de la demande et permet de questionner sans être soumis au commanditaire. La commande n’est plus simplement envisagée comme objet ; elle devient levier pour l’acquisition de connaissances et l’exercice de compétences ad hoc.

Objectifs :

Ouvrir et clarifier la demande. Situer l’apport scientifique universitaire et légitimer la place de l’étudiant-apprenant comme étudiant-chercheur. Situer les protagonistes du projet et les parties prenantes engagées dans la recherche. Comprendre les intérêts et les enjeux présents. Découvrir ce qui n’est pas manifeste. Transformer les notions en actions.

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Prendre en compte que la demande initiale est généralement mal formulée, plutôt limitante et éloignée d’un traitement scientifique. Revendiquer la liberté scientifique.
Quand on ne peut pas atteindre un objectif c’est que l’objectif n’est pas bon (car irréaliste, non-observable ou non-mesurable).
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#9 - Communiquer l’état de sa recherche.

Exposer et s’exposer.

Constats :

Les étudiants imaginent que la présentation finale est le seul temps de médiation et d’évaluation. Pour optimiser l’accompagnement, les enseignants ont besoin de bilans intermédiaires pour mesurer les écarts entre l’attendu et ce qui est en cours de réalisation.

Moyens :

La communication de l’état de la recherche (balbutiante, intermédiaire ou finale) permet d’effectuer un bilan de l’avancée et du chemin à parcourir, de prendre de la distance par rapport à son objet d’étude et de se confronter au regard des autres. La communication accompagne la chronologie de projet. L’utilisation de dispositifs de médiation comme le « Pecha-kucha » ou le « Plateau-télé » privilégient l’essentiel des contenus dans un temps court. Le discours de restitution se construit sur les points suivants :
  • Le lieu où nous allons (objectif à long terme)
  • Par où nous sommes passés ?
  • Comment nous nous sommes rendus ?
  • Qu’est ce que nous voulons voir ? (objectif d’hypothèse).

Objectifs :

S’exercer à la médiation. Définir les publics visés. Solliciter des compétences de convergence et de synthèse liées à une situation de médiation. Assumer sa fragile légitimité et le cadre hypothétique des premiers postulats.

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La posture critique de la transmission de la connaissance est un levier puissant pour l’acquisition de cette même connaissance.
écrire, mettre en images ou à utiliser des sons, constitue avant tout la nécessité de se faire comprendre par son interlocuteur.
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#10 - Créer les conditions d’un travail collaboratif.

Créer une communauté temporaire de recherche.

Constats :

Certains étudiants n’ont pas conscience de l’intérêt du travail collectif. Travailler ensemble nécessite de se faire connaître et reconnaître l’autre, pour se situer et situer l’autre. Travailler avec l’autre n’est pas obligatoirement collaborer ou co-construire..

Moyens :

Un climat relationnel propice à l’activité s’appuie sur des valeurs partagées : confiance, écoute, bienveillance et solidarité. Les situations pédagogiques sont conçues pour éprouver ces valeurs (permutation des membres, ice-breakers, moments de convivialité…) Le résultat d’une collaboration est une création partagée. L’équipe encadrante mesure le travail collaboratif et l’implication de chacun par la qualité des contributions. La fonction du dispositif et de l’environnement construits par les enseignants et accompagnateurs n’est pas simplement de former l’étudiant mais lui permettre aussi de se révéler.

Objectifs :

Collaborer pour co-construire et co-créer. Partager les résultats, les doutes et les découvertes. Nourrir la recherche par les croisements de point de vue. Donner à voir les traces de l’activité. Evaluer l’implication de chacun et l’équilibre de participation dans les groupes. Rendre possible la prise de parole individuelle de chaque participant.

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Les échanges informels facilitent la relation dans un cadre académique. Les conditions d’un travail collaboratif exigent un juste équilibre entre reconnaissance de chacun et gain sensible (connaissance, savoir être…) pour que tous les acteurs y trouvent leur compte. Les résultats du travail collaboratif sont en open source.
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L'enjeu est de libérer la créativité, l'imaginaire, d'inviter à la collaboration constructive et de solliciter la prise d'autonomie et l'esprit d'initiative.
Publié le  29 novembre 2019
Mis à jour le 9 juin 2020